FéLix DOMECQ |
Depuis sa première photo en 1959, il travaille principalement. sur la poésie du quotidien, ces personnages authentiques. et leur lieux familiers. Par exemple, il exécute en 1989-90 les trombinoscopes géants de 800 employés du Parc Astérix et de 1200 employés d'Euro Disney. Il crée :  Carnet de voyages, Belgique, Italie, Grèce, Maroc, Malaisie, Russie, Chili (portraits et paysages). Rien à voir, écrits de Claude-Pierre Boutet, Editions de la Grand'rue, Longjumeau, 1998.Enfin, l'association Le 4ème en action l'invite à faire le portrait de tous les habitants des quartiers de l'arrondissement. FéLix Domecq recueille ces portraits d'un trottoir à l'autre, dans les cours, les boutiques et les appartements. Son Hasselblad lui sert de sourire de bienvenue. La relation est directe, le contact s'établit, les images ne sont pas volées. Pour ceux qu'il rencontre, se faire photographier devient un jeu. Sa démarche en noir et blanc révèle ce qui est souvent allusif et dont la personne elle-même n'est pas consciente. Les recherches de FéLix Domecq portent essentiellement sur les possibilités d'expression qu'offre le tirage. Mais son empathie avec les sujets qu'il photographie lui permet de voir déjà dans son viseur l'image aboutie. En ce début de siècle, la tâche que lui a confiée l'association Le 4ème en action donne à FéLix Domecq la possibilité de fixer dans la mémoire photographique un moment de la vie de l'arrondissement. |
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